Peau de Lumière Magique est l’évocation de l’essence même d’un parfum qui, telle la magie perpétuée quotidiennement par le génie humain, ouvre nos sens à des mondes extraordinaires.
Peau de Lumière Magique est l’évocation de l’essence même d’un parfum qui, telle la magie perpétuée quotidiennement par le génie humain, ouvre nos sens à des mondes extraordinaires.
Peau de Nuit Infinie est une invitation à un voyage de rêve vers l’infinité, un monde inconnu qui a le mystère d’une chimère et la sensualité d’une fantaisie.
Peau de Nuit Infinie est une invitation à un voyage de rêve vers l’infinité, un monde inconnu qui a le mystère d’une chimère et la sensualité d’une fantaisie.
Peau de Pierre est un parfum masculin qui dévoile au cœur la part féminine de l’homme. Il est cette membrane, symbole de cette permanente ambiguïté et à travers laquelle passent nos différences et notre personnalité.
Peau de Pierre est un parfum masculin qui dévoile au cœur la part féminine de l’homme. Il est cette membrane, symbole de cette permanente ambiguïté et à travers laquelle passent nos différences et notre personnalité.
Peau d’Ailleurs est étrange, indéfinissable, insaisissable. Exploration à travers nous, à travers l’Ailleurs et l’inconscient, son parfum est aussi une évasion vers le territoire infini de la dématérialisation où l’odeur du vide cosmique rencontre celui d’une Terra Incognita.
Peau d’Ailleurs est étrange, indéfinissable, insaisissable. Exploration à travers nous, à travers l’Ailleurs et l’inconscient, son parfum est aussi une évasion vers le territoire infini de la dématérialisation où l’odeur du vide cosmique rencontre celui d’une Terra Incognita.
Peau de Soie est un paradoxe, celui d’un parfum dont la féminité se dévoile autour d’un coeur d’homme. Un parfum qui s’attache à révéler cet entre-deux, entre la surface et le noyau, où s’exprime l’évocation de la réalité mystérieuse de la femme.
Peau de Soie est un paradoxe, celui d’un parfum dont la féminité se dévoile autour d’un coeur d’homme. Un parfum qui s’attache à révéler cet entre-deux, entre la surface et le noyau, où s’exprime l’évocation de la réalité mystérieuse de la femme.